
Troy Makaza’ surreal works, woven from painted silicone strings, create threadlike spider webs that bridge the gap between painting and sculpture. His broader examination of the fluid relationships between the sexes in Zimbabwe bound together powerful metaphors for social and intimate spaces, where traditional values and liberal attitudes are no longer assured.
While he trained at the National Gallery School of Visual Art and Design, he opted to invent his own medium, which spoke more closely to his culture as a young Hararean in tune with Zimbabwean tradition. Makaza came up with silicone infused with ink and paint, which he is able to mould, paint, weave, and sculpt. While abstract, his works pick up on and merge the colours of military fatigues and those of everyday clothing as ruminations on what it meant and what it will mean for Zimbabwe to go forward.
Né en 1994 à Harare, Zimbabwe
Vit et travaille à Harare, Zimbabwe
Les œuvres surréalistes de Troy Makaza, tissées à partir de cordes de silicone peintes, habitent l’espace des deux côtés de la peinture et de la sculpture, créant une toile d’araignée filiforme. Son examen plus large des relations fluides et influx entre les sexes au Zimbabwe a lié ensemble de puissantes métaphores pour les espaces sociaux et intimes, où les valeurs traditionnelles et les attitudes libérales ne sont plus assurées. Alors qu’il se forme à la National Gallery Visual Art, il choisit d’inventer son propre médium, plus proche de sa culture de jeune harareen, en accord avec les traditions zimbabwéennes. Makaza a imaginé du silicone infusé d’encre et de peinture, qu’il est capable de mouler, peindre, tisser et sculpter. Bien qu’abstraites, ses œuvres reprennent et fusionnent les couleurs des uniformes militaires et celles des vêtements de tous les jours comme des ruminations sur ce que cela signifiait et ce que cela signifierait pour le Zimbabwe à l’avenir.